Le concept de « signaux faibles » a été imaginé dans les années 1970. Ce sont des éléments de perception de l’environnement : opportunités ou menaces !

Plus concrètement, capter des signaux faibles consiste à dépasser un premier niveau d’apparence, d’information ou de réaction pour chercher des données « augmentées ». L’importance des signaux faibles n’est pas dans leur perception, qui se fait rarement au premier degré, mais dans ce qu’ils déclenchent comme réactions.

« J’ai ainsi commencé à rassembler au gré de mes pérégrinations en France et à l’étranger ce qui peut s’apparenter à des signaux faibles, toujours dans une perspective où l’humour et le second degré sont omniprésents : panneaux indicatifs, peintures murales, inscriptions… Mais aussi des traces écrites, dessinées ou peintes, laissées par les hommes en justification de leur passage et de leurs inspirations. »